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Bravo à l'OMR pour cette saison

Maintien en N2
Peut être une image de 5 personnes
Posté par Alexandre le 25/05/2023

Bravo au LMA

5ieme place aux Championnats de France Elite
Peut être une image de 5 personnes et texte
Posté par Alexandre le 25/05/2023

Bravo à l'ESBVA pour cette saison

Posté par Alexandre le 25/05/2023

Bravo à l'ESBVA pour cette saison

Vice Championnes de France
Peut être une image de 7 personnes, personnes jouant au basket, bannière, affiche et texte
Posté par Alexandre le 25/05/2023

essuie glace en ostéopathie

Certains coureurs se plaignent de douleurs situées sur la partie externe du genou lors de la course. Ce syndrome vise des sujets jeunes, sportifs, pratiquant la course à pied, le cyclisme ou le football. 
 Il est possible que ce soit le syndrome de l’essuie-glace.

Le tenseur du fascia lata s’insère en haut sur le bassin et en bas sur le tibia, longe la face latérale de la cuisse. Il entraine des flexions et ABD de hanche.
La douleur est causée par la friction de la bandelette sur le tubercule du condyle externe du fémur à chaque flexion-extension du genou. Ce frottement entraine l’inflammation du muscle voire même de la petite bourse séreuse située en dessus, censée le protéger, et crée la douleur.

La douleur apparaît progressivement sur la partie externe du genou et s'estompe après quelques heures de repos.
La douleur apparaîtra de plus en plus tôt au cours de l’effort sportif et devenir plus intense

L’ostéopathie visera à faire disparaître la friction entre le muscle et le fémur:
En symétrisant le bassin, hanche, genou, cheville etc... 
En soulageant les tensions viscérales qui pourraient mettre en tension le bassin.

La première chose à faire sera d’éliminer toutes les causes externes qui pourraient être à l’origine de la désaxation du muscle :
⦁ des chaussures usagées 
⦁ des semelles orthopédiques non adaptées
⦁ trouble postural 

L'inflammation ne va pas disparaître tout de suite. Il faudra lui laisser le temps de se réduire avant de retourner courir. Cela peut prendre quelques jours, voire quelques semaines si le syndrome date.
Une fois l’inflammation réduite, la reprise sera progressive (sur terrain plat d’abord, puis en variant les dénivelés), veiller à bien s’échauffer, à respecter les phases de repos, éviter le surentrainement, voire suivre des séances de kinésithérapie.
Posté par Alexandre le 18/02/2018

Marathon et osteopathie

L’ostéopathie est une science manuelle qui vise à libérer le corps de ses tensions. Elle agit de manière globale en s’intéressant aux tissus osseux, articulaires, ligamentaires, musculaires, viscéraux, craniens…

L’objectif premier de l’ostéopathie est  de libérer les restrictions de mobilité tissulaires afin de rétablir un équilibre physique. Le corps et le psychique sont intimement liés c’est pourquoi  l’équilibre physique favorise un équilibre psychique, énergétique et chimique. Les techniques ostéopathiques sont exclusivements manuelles.

D’après une étude récente réalisée à Montréal  80 % des coureurs se blessent lors de leur pratique chaque année. La course à pied est une activité très traumatisante de par la répétition des chocs sur le corps. Il en résulte des tensions articulaires, musculaires, ligamentaires qui sont à l’ origine de dysfonctions de mobilité. Si ses restrictions de mobilité ne sont pas éliminées elles provoquent des troubles de la gestuelle sportive pouvant aboutir à de véritables pathologies. Le corps  est capable de s’adapter aux contraintes mécaniques inhérentes à la course à pied toutefois cette adaptation présente des limites. Lorsque l’organisme ne peut plus gérer ses contraintes mécaniques répétitives ce  sont les douleurs et blessures qui apparaissent. Ces dernières entrainent un arrêt plus ou moins long de la course à pied.

Une séance d’ostéopathie peut être intéressante soit dans un but préventif (peu de monde) à raison de une à deux séances par an soit dans un but curatif (trop de monde) dés que les douleurs sont présentes et installées. Il est aussi intéressant d’effectuer une séance d’ostéopathie avant un gros objectif, celle-ci doit néanmoins se réaliser dix à quinze jours avant la course afin que le corps ait le temps de se rééquilibrer. Certains patients ressentent les effets de la séance pendant une semaine.

Lors de la séance l’ostéopathe réalisera un bilan afin de mettre en évidence des dysfonctions et restrictions de mobilité. Ensuite le professionnel libère les tensions trouvées et rééquilibre le corps par rapport aux nouvelles informations qu’il vient de donner.

Un petit blocage qui pourrait paraitre bénin car très minime peut avoir de grandes conséquences sur le résultat d’une course.

En effet une restriction de mobilité au niveau de la cheville par exemple peut entrainer dans un premier temps une modification du déroulé du pas lors de la course. Puis celle-ci peut  entrainer des tensions au niveau du genou, de la hanche, du bassin puis du dos.

Le corps va réussir au début à s’adapter à cette modification du geste sportif mais si la contrainte mécanique est trop longue  (marathon, ultra trail) le corps va tout d’abord signaler ses troubles par des douleurs et si celles-ci ne sont  pas entendues par le coureur (arrêt de l’effort) c’est le début de certaines pathologies (contractures, élongations, tendinites…).

Le corps fonctionne par chaines musculaires ainsi un blocage de la cheville peut entrainer quelques semaines plus tard un lumbago ou un torticolis…

Le coureur doit être à «  l’écoute » de son corps afin de déceler une tension anormale ou  l’apparition d’une douleur. C’est pourquoi il est primordial de consulter dés les premiers signes d’alertes.

Posté par Alexandre le 11/03/2016

Arrêtons cette polémique autour du lait : il n'est pas néfaste chez le sportif.

Un nombre croissant de données scientifiques soutiennent l'utilisation du lait en tant que boissons adéquates, et peut-être même idéales, pour la récupération à la suite d'exercices d'endurance ou de résistance.

copier ce lien : 
http://www.savoirlaitier.ca/donnees-scientifiques/le-lait-et-la-nutrition-sportive/le-role-du-lait-chez-les-personnes-physiquement-actives
http://www.savoirlaitier.ca/donnees-scientifiques/la-perspective-des-experts/le-lait-une-boisson-ideale-pour-les-sportifs
http://www.sportsante.info/article/le-lait-mauvais-pour-les-articulations
http://www.jogging-international.net/sante-forme/articles/le-lait-a-boire-et-a-manger

Posté par Alexandre le 25/05/2015

le syndrome d'Alcock ou syndrome du 3ieme testicule

Très courant chez le cycliste, une douleur de contact très invalidante. 
copier ce lien pour le syndrome d'Alcock : 
http://www.esculape.com/rhumato/pudental.html

copier ce lien pour le syndrome du 3ieme testicule : 

http://www.perinee-cycliste.com/
Posté par Alexandre le 25/05/2015

Attelle conseillé contre le syndrome d'essui glace chez le coureur à pied

En ré-alignant la jambe grâce à son strap en spirale, la RK-1 limite le frottement de la bandelette ilio-tibiale sur le côté externe du genou, soulageant ainsi la douleur. Elle bénéficie d’une conception textile innovante, ultra-légère et extrêmement confortable. Compression ajustable, matériaux respirants. Elle se fait complètement oublier, seul le plaisir de courir reste.
sur zamst.fr
Posté par Alexandre le 25/05/2015

La fracture de fatigue

Les fractures de fatigue ou fractures de stress sont des lésions par surcharge des tissus osseux.

Copier ce lien : http://www.irbms.com/fractures-de-fatigue

Posté par Alexandre le 12/04/2015